Quand un grand ponte de l’utilisabilité porte son attention sur un système d’exploitation majeur, on aurait tort de ne pas tendre l’oreille, même si c’est avec les yeux.
Pour résumer son analyse, les choix consentis sont (très) discutables :
- fonctionnalités masquées (pour ne pas dire cachées) ;
- une vision « du-dessus » nécessaire alors que jusqu’alors nous étions dans une vision « de l’intérieur » ;
- un passage d’une interface (Modern UI) à l’autre (interface classique) en fonction des applications et des besoins, demandant, du coup, une adaptation de comportements et des réflexes cognitifs ;
- ou encore un appel plus conséquent à la mémorisation…
(article original, en anglais)
La question de l’apprentissage est au cœur du schmilblick et sur celle-ci, Michel Rousseau, évangéliste Windows 8 venu nous présenter l’interface il y a un peu plus d’une semaine, n’avait su réellement nous éclairer.
Le pari est important, et peut-être que cette version est un tantinet en avance sur son temps pour les interfaces non tactiles ou les usages desktop tels que nous les connaissons. Mais l’ensemble n’est certainement pas à dénigrer, alors apprenons !
Si vous avez des retours d’expériences, faites-nous en part, nous sommes curieux !