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MDM, peut être pas si compliqué finalement !

Lorsqu’on entend parler de Master Data Management on s’imagine souvent des projets colossaux à mettre en oeuvre, ce qui peut faire peur.

L’objectif d’un tel outil est de (très grossièrement) récupérer, faire matcher, nettoyer, ranger et diffuser un certain nombre de référentiels de données. On peut le voir comme une sorte de poumon de la donnée dans une architecture à trois couches (notre cheval de bataille ! cf notre premier épisode des Papis du Web).

Cela nécessite donc de rassembler autour de la table un nombre d’acteurs importants de l’entreprise, d’où l’image de projet structurant et au long cours.  Cependant, il est tout à fait possible d’entamer la mise en place d’un MDM petit à petit, en commençant par un Proof Of Concept permettant de répondre à des users stories spécifiques.

C’est ce que nous avons proposé à une grande banque en Asie, contexte qui s’y prête parfaitement puisque société multi-filiales, issues de rachats successifs sans vraiment de roadmap commune au niveau IT et qui par contre souhaite partager un certain nombre de leads et de données clients au niveau marketing et commercial.
Pour permettre de tester et répondre rapidement à leur demande nous avons proposé un combo intéressant : MDM et dispositif Low/No Code. L’objectif est de mettre en place des formulaires, grâce à la plateforme Low/No Code, très rapidement, en s’assurant d’un maximum de qualité et de sécurité, de déverser la données récoltées par la campagne marketing dans le MDM, de définir un processus ciblé de golden record avec quelques bases issues d’autres filiales et de redistribuer la donnée aux différentes équipes marketing.

MDM

Avec un projet à quelques dizaines de jours nous pouvons donc répondre à une problématique de campagne marketing grâce à un POC et laisser le client juger de l’intérêt d’un outil MDM au sein de son architecture digitale dans une mise en place plus large.

Coup double !